École Théofania /Dérives sectaires et santé mentale dans l’Église : Approches juridiques et judiciaires

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Dérives sectaires et santé mentale dans l’Église : Approches juridiques et judiciaires

  • Cours
  • 21 Leçons

Cette formation hybride (support numérique écrit et audio sous forme de podcast) guide les apprenants pas à pas dans la compréhension des dérives sectaires au sein des institutions religieuses. Alliant droit, justice et psychologie, elle se veut un outil de prévention, de médiation et d’accompagnement juridique pour éviter les conflits et protéger la santé mentale des fidèles.

Une formation pratique, humaine et interdisciplinaire, conçue pour vos réalités de terrain

Vous êtes pasteur, responsable d’église, psychologue, juriste, travailleur social, professionnel de la santé mentale, ou étudiant en droit, psychologie, théologie, soins infirmiers ou accompagnement spirituel ?
Cette formation a été pensée pour vous, dans vos contextes d’action réels.

Ce que vous tenez entre les mains, ce ne sont pas de simples cours PDF à lire seul, mais un dispositif de formation numérique complet, construit pour vous accompagner de manière concrète, accessible et directement applicable.

Concrètement, vous accédez à :

  • Des modules de formation structurés, rédigés dans un langage clair, sans jargon inutile, et organisés par thématiques (juridiques, psychologiques, sociales, religieuses) ;

  • Des cas pratiques concrets, inspirés de situations réelles, pour vous entraîner à repérer, comprendre et intervenir face aux dérives spirituelles et abus d’autorité ;

  • Des contenus audio guidés, pour vous accompagner dans chaque module comme si vous étiez conseillé à voix haute par une formatrice à vos côtés ;

  • Des fiches d’analyse, grilles de lecture et supports d’aide à la décision, directement téléchargeables et utilisables sur le terrain (rendez-vous, entretien, signalement, médiation) ;

  • Un accompagnement humain et pédagogique, disponible sur demande, par message ou en visioconférence selon les besoins : parce qu’aucune formation sérieuse ne devrait être livrée sans possibilité d’échange.

Une pédagogie pensée pour les praticiens et les futurs professionnels

Cette formation n’est pas un cours universitaire théorique. Elle s’adresse à tous ceux qui veulent comprendre les mécanismes d’emprise, d’abus spirituels et de dérives sectaires dans des contextes variés :

  • Professionnels du droit (avocats, magistrats, juristes spécialisés)

  • Psychologues, thérapeutes, éducateurs spécialisés

  • Responsables d’associations ou de lieux de culte

  • Étudiants en droit, en psychologie, en théologie ou en santé

  • Intervenants sociaux, formateurs, médiateurs, bénévoles

  • Personnes confrontées à des dérives dans leur environnement familial ou professionnel

Vous pouvez dès maintenant accéder à :

  • Les 11 modules complets (à votre rythme, selon vos besoins)

  • Des outils pratiques directement mobilisables sur le terrain

  • Un espace de dialogue avec la formatrice, si vous en ressentez le besoin

C’est une formation que vous pouvez suivre à votre rythme, selon vos disponibilités, et qui vise un seul objectif : vous rendre plus apte à repérer, comprendre, prévenir et agir face aux dérives spirituelles et à leurs impacts juridiques, psychiques, sociaux et relationnels.

Profitez de 25 € de réduction immédiate avec le code promo RFI16UE

Offre valable pour tout achat du pack complet, dans la limite des places disponibles.

Pourquoi cette formation est-elle accessible à tous ?

Une formation en droit comparé des religions et de la justice, ouverte à tout le monde

Une formation interdisciplinaire par Mme Aïcha GBANDI

Là où il y a un droit, il y a un recours.

« La liberté de conscience n’est pas la liberté de manipuler les consciences. » écrivait le professeur Jean Rivero, en rappelant que le droit ne saurait tolérer que la foi serve de masque aux abus. À la croisée du droit des cultes, des libertés fondamentales et de la protection des personnes vulnérables, cette formation propose une lecture rigoureuse des dérives sectaires et des troubles psychospirituels dans l’Église, pour mieux prévenir, qualifier et agir.

🎯 À propos de la formatrice

Juriste de formation et figure engagée du Renouveau Charismatique Catholique, Aïcha GBANDI, baptisée sous le prénom Immaculée Natacha, allie depuis plus de quinze ans foi, réflexion juridique et accompagnement spirituel.

Titulaire d’un master en Histoire du droit (Université de Bordeaux) et lauréate de concours internationaux en droit humanitaire, elle a mené des recherches novatrices sur la place du droit dans les mouvements religieux et les congrès féminins internationaux.

Son parcours en cabinets d’avocats (droit du travail, droit des étrangers, contentieux administratif), ainsi que sa participation à des compétitions de haut niveau (CICR, Jean-Pictet), témoignent d’une solide expertise juridique et d’un engagement profond pour la justice sociale.

Animatrice, prédicatrice et membre élue du noyau du Renouveau Charismatique Catholique, elle est aussi la fondatrice de l’École Théofania, un espace dédié à l’éveil spirituel et au discernement prophétique. Sa pédagogie repose sur une vision holistique, nourrie par la psychologie, la théologie, la poésie et une écoute attentive des détresses humaines.

En tant que formatrice, elle propose une approche inédite des dérives sectaires, des abus spirituels et de leurs conséquences psychiques et juridiques. Sa méthode associe outils juridiques concrets, éclairages spirituels, et langage accessible, pour servir la libération intérieure, le discernement et la protection juridique des fidèles.

Sa légitimité repose sur un double ancrage : la rigueur du droit et la profondeur de l’expérience spirituelle.

🎯 Objectifs pédagogiques :

  • Identifier et comprendre les dérives sectaires dans les institutions religieuses (abus spirituels, financiers, psychologiques, sexuels).

  • Analyser l’encadrement juridique et judiciaire des cultes et les recours possibles en cas d’abus.

  • Développer une approche préventive et de médiation pour éviter les conflits internes et judiciaires.

  • Apprendre à dialoguer avec les autorités civiles et judiciaires (juges, avocats, associations de victimes).

  • Comprendre l’impact des abus sur la santé mentale et proposer des stratégies de résilience et d’accompagnement.

🎯 Une formation unique pour…

  • Les professionnels du droit et de la justice (avocats, magistrats, juristes spécialisés en droit des cultes, droit pénal, droit social, droit civil) qui veulent maîtriser les enjeux juridiques des abus spirituels et des dérives sectaires.

  • Les responsables religieux (pasteurs, prêtres, leaders communautaires) désireux de prévenir les dérives et d’assurer une gouvernance spirituelle éthique et respectueuse des fidèles.

  • Les psychologues et professionnels de la santé mentale qui accompagnent les victimes d’abus spirituels et souhaitent mieux comprendre les mécanismes d’emprise.

  • Les associations de lutte contre les dérives sectaires qui cherchent à renforcer leur expertise et leur capacité d’intervention.

  • Les institutions publiques et collectivités locales engagées dans la protection des citoyens face aux dérives sectaires et à l’abus de pouvoir spirituel.

  • Les victimes d’abus spirituels qui veulent comprendre leurs droits et les recours possibles pour se défendre.

Ce que vous allez apprendre

Le programme complet : 11 modules thématiques, cas pratiques, ressources audio, outils d’analyse, accessibles à votre rythme.

Dérives sectaires et santé mentale dans l’Église : approches juridiques et judiciaires – programme détaillé du cours

SEMAINE 1 : COMPRENDRE LES DÉRIVES SECTAIRES : ENTRE FOI ET MANIPULATION

1. Que signifie juridiquement une dérive sectaire ?

Abus spirituels, financiers, psychologiques, sexuels… Nous posons ici les bases de la formation en définissant juridiquement ces notions et en expliquant leurs manifestations concrètes dans les milieux religieux.

À partir d’études de cas réels, comme celui de Marie Stella, responsable d’un groupe de prière interpellée pour attouchements sexuels présumés sur un mineur de 13 ans, nous verrons comment une autorité spirituelle peut basculer dans l’abus, souvent sans même en avoir conscience.

L’interpellation, dans ce type d’affaire, relève généralement de la police judiciaire, sur instruction du procureur de la République, compétent pour ouvrir une enquête préliminaire ou une information judiciaire en cas d’infraction pénale.

Face aux agents, Marie Stella adopte un discours biblique inadapté : « Je vous pardonne par les passions de notre Seigneur Jésus-Christ, vous m’accusez injustement ». Ce type de propos peut être interprété comme une forme d’outrage à agent, infraction prévue à l’article 433-5 du Code pénal, lorsqu’elle est accompagnée d’un ton méprisant ou agressif.

Au lieu de parler en ces termes, il est juridiquement plus prudent de rester neutre, d’éviter tout langage spirituel et de demander la présence d’un avocat. Ce type de posture est aussi traité dans la formation : que dire ? comment réagir ? à quel moment faire valoir ses droits ?

Dans l’affaire citée, l’audition de Marie Stella est transmise à une juridiction pénale compétente, potentiellement un juge des enfants, un juge d’instruction ou même une chambre correctionnelle, selon la gravité des faits et la qualité de la victime.

Ce que vous allez apprendre dans cette formation (et que vous ne trouverez pas gratuitement sur internet) :

  1. Identifier juridiquement une dérive sectaire dans un cadre religieux ou communautaire

  2. Comprendre les responsabilités pénales et civiles des dirigeants spirituels

  3. Apprendre à adapter son langage et son comportement en contexte d’enquête ou de suspicion

  4. Connaître les recours pour les victimes et les obligations pour les encadrants
    Analyser des cas réels avec des outils concrets (grille d’analyse, points de vigilance, réflexes à avoir)

  5. Développer un discernement éclairé entre autorité spirituelle et abus de pouvoir

  6. Prévenir les atteintes à la santé mentale à travers une approche juridique, psychologique et théologique

À la différence des tutoriels ou contenus gratuits sur internet, cette formation vous propose une lecture juridique approfondie, nourrie par l’expérience de terrain, le vécu spirituel, et la confrontation avec des réalités humaines complexes.

Une formation engagée, accessible, et pensée pour vous outiller face aux abus dans les milieux religieux. Achetez la formation maintenant et devenez un acteur de prévention, de discernement et de protection.

MODULE 1 – Notions et terminologies juridiques des dérives sectaires.pdf

2. Pentecôtisme, évangélisme, protestantisme, églises de réveil et mouvements charismatiques catholiques : cadre juridique et dérives potentielles

Les communautés religieuses jouent un rôle fondamental dans la vie spirituelle et sociale de leurs membres. Elles offrent un espace de foi, de partage et de renouveau. Cependant, certaines pratiques internes peuvent soulever des questions juridiques, notamment en matière de liberté individuelle, d’emprise psychologique ou de gestion des responsabilités des dirigeants.

Cette formation explore les aspects juridiques essentiels liés aux mouvements religieux contemporains, qu’ils soient évangéliques, charismatiques, pentecôtistes ou issus d’autres traditions. Elle propose des clés pour mieux comprendre les limites légales, prévenir les dérives et garantir un équilibre entre autorité spirituelle et respect des droits des fidèles.

Exemples concrets : quand l’autorité spirituelle devient une contrainte

Exclusion d’un fidèle pour manque de soumission :

Dans plusieurs communautés, la contestation de certaines directives (jeûnes obligatoires, exigences financières, décisions internes) peut mener à une mise à l’écart brutale. Or, en droit, toute forme de pression qui prive un individu de son libre arbitre peut être examinée sous l’angle de l’abus de faiblesse ou de l’atteinte à la liberté de culte.

Dérives financières et demandes de dons abusives :

Les contributions des fidèles sont souvent essentielles à la vie des communautés. Mais lorsque ces sollicitations deviennent excessives ou conditionnent l’accès à certaines bénédictions, elles peuvent relever de l’abus de confiance ou de l’escroquerie.

Pratiques spirituelles à risque :

Certains rituels (jeûnes prolongés, prières d’exorcisme, imposition des mains) peuvent avoir des conséquences psychologiques et physiques graves, engageant la responsabilité des dirigeants en cas de mise en danger de la personne d’autrui.

Face à ces réalités, comprendre le cadre juridique permet de prévenir les abus et de préserver la légitimité des engagements religieux.

Ce que vous allez recevoir

  1. Un décryptage du cadre légal applicable aux communautés religieuses

  2. Une compréhension des limites entre influence spirituelle et emprise psychologique

  3. Une analyse des responsabilités juridiques des leaders et des institutions

  4. Des outils pour identifier et réagir face aux dérives potentielles

  5. Des études de cas concrets pour illustrer les enjeux

🎯 Une formation essentielle pour un équilibre entre foi et droit

Cette formation ne se limite pas à une approche théorique. Elle propose une réflexion approfondie, enrichie par des cas réels et des analyses juridiques accessibles.

Que vous soyez fidèle, responsable religieux ou acteur de la société civile, elle vous aidera à discerner les pratiques acceptables des excès, tout en respectant la diversité des traditions et des croyances.

Inscrivez-vous dès maintenant et développez un regard éclairé sur les enjeux juridiques du fait religieux.

MODULE 2 – Mouvements religieux contemporains et cadres juridiques.pdf

3. Dons de révélation et procès pour sorcellerie dans les églises : quelles limites légales ?

"Dis-nous, es-tu une sorcière ?"

Cette seule phrase a suffi à plonger Marie-Aurore dans un véritable cauchemar. Victime d’accusations infondées au sein de son église, elle a été isolée, humiliée publiquement et soumise à une "délivrance forcée". Son histoire, loin d’être un cas isolé, soulève des questions fondamentales sur le droit, la liberté de conscience et la protection des individus contre des pratiques abusives.

Les procès pour sorcellerie ont été abolis en France depuis longtemps, mais des dérives subsistent dans certains milieux religieux sous d’autres formes : séances d’exorcisme brutales, diffamations spirituelles ou encore pressions psychologiques.

Quels sont les textes juridiques de référence qui encadrent ces pratiques ? Jusqu’où va la liberté religieuse, et où commencent les violations des droits fondamentaux ?

⚖️ L'histoire du droit au présent : des ordalies aux interdits modernes

Pendant des siècles, l’accusation de sorcellerie relevait d’un régime judiciaire spécifique. Le Parlement de Paris, instance suprême sous l’Ancien Régime, a jugé des centaines d’affaires de sorcellerie. Parmi les cas célèbres, l’affaire de la Voisin (1679) illustre l’ampleur de ces procès : Catherine Deshayes, dite "La Voisin", fut brûlée vive après avoir été accusée d’empoisonnement et de pratiques occultes dans une affaire mêlant magie noire et complots politiques à la cour de Louis XIV.

Les ordalies, ces "jugements de Dieu" où l’on soumettait l’accusé à une épreuve physique (plonger une main dans l’eau bouillante, porter un fer rouge…) pour prouver son innocence, ont perduré jusqu’au XIIIe siècle avant d’être interdites par le concile de Latran IV (1215).

Aujourd’hui, ces pratiques sont considérées comme des atteintes aux droits humains et tombent sous le coup de plusieurs articles du Code pénal.

Ce que vous devez concrètement savoir pour agir rapidement

  • Accuser quelqu’un de sorcellerie sans preuve constitue une atteinte à l’honneur, passible de sanctions civiles et pénales.

  • Les séances de délivrance impliquant des pressions physiques ou psychologiques excessives peuvent être considérées comme des violences aggravées ou une mise en danger d’autrui.

  • L’isolement d’un fidèle basé sur des croyances non fondées peut être assimilé à une discrimination en raison des convictions personnelles, ce qui est illégal.

  • Lorsqu’un leader religieux profite de l’emprise qu’il exerce sur une personne vulnérable pour lui imposer un rituel de délivrance, il peut être poursuivi pour abus de faiblesse, une infraction souvent évoquée dans les affaires de dérives sectaires.

En somme, ce qui relevait autrefois d’un jugement divin est aujourd’hui une affaire strictement encadrée par la loi, où la présomption d’innocence et la protection des libertés individuelles priment.

Ce que vous allez recevoir

  1. Une analyse historique et juridique de la sorcellerie, du Moyen Âge à aujourd’hui

  2. Une compréhension des qualifications pénales applicables aux accusations spirituelles

  3. Un décryptage des limites entre croyances religieuses et abus de pouvoir

  4. Des outils juridiques pour identifier et réagir face à ces pratiques
    Des études de cas concrets, basées sur des faits réels

🎯 Une formation essentielle pour comprendre et prévenir les dérives spirituelles

Dans un État de droit, personne ne devrait être jugé sur la base d’une "vision spirituelle" ou d’une "révélation". Cette formation vous permet d’acquérir une connaissance juridique solide, essentielle pour comprendre où s’arrête la liberté religieuse et où commence la protection des droits fondamentaux.

Que vous soyez fidèle, encadrant religieux, juriste ou simple citoyen préoccupé par ces dérives, ce module vous donnera les réflexes juridiques indispensables pour réagir de manière éclairée.

MODULE 3 – Révélations spirituelles et accusations de sorcellerie.pdf

🎙️ Podcast 1

L’autorité spirituelle a-t-elle des limites juridiques ?

🎙️ Podcast 1 : L’autorité spirituelle a-t-elle des limites juridiques ?

🎙️ Podcast 2

Sectes, églises et liberté religieuse : ce que dit la loi

🎙️ Podcast 2 : Sectes, églises et liberté religieuse : ce que dit la loi

📖 SEMAINE 2 : L’IMPACT PSYCHOLOGIQUE DES ABUS DANS L’ÉGLISE

4. Lanceurs d’alerte et protection juridique dans les affaires de dérives sectaires

Dénoncer des abus au sein d’une communauté religieuse expose souvent à des représailles : exclusion, harcèlement, menaces. Pourtant, la loi protège ceux qui signalent des faits graves affectant les fidèles.

Depuis la loi Sapin II (2016) et son renforcement en 2022, le statut de lanceur d’alerte garantit une protection contre les sanctions, licenciements ou pressions.

Dans les cas de dérives sectaires, l’article 223-15-2 du Code pénal (abus de faiblesse) et l’article L. 1132-3-3 du Code du travail interdisent toute mesure de rétorsion contre un salarié dénonçant des pratiques illégales.

⚖️ Quels recours ?

  1. Signalement interne ou auprès des autorités (procureur, Miviludes, Défenseur des droits)

  2. Protection contre les représailles en justice (prud’hommes, juridictions pénales)

  3. Accompagnement juridique et psychologique pour éviter l’isolement

Parler est un droit, pas un crime. Cette formation vous donne les outils concrets pour agir en toute sécurité, connaître vos droits et faire face aux pressions.

À la fin de ce module, vous saurez :

  • Identifier les protections légales dont bénéficie un lanceur d’alerte,

  • Effectuer un signalement structuré et sécurisé,

  • Éviter l’isolement en mobilisant les bons leviers juridiques et humains.

MODULE 4 – Protection des lanceurs d’alerte.pdf

5. Superstition religieuse et sur-victimisation : entre croyance et endoctrinement mental

Convaincue d’être possédée, Marie-Aurore crie à l’exorcisme sans relâche. Pourtant, son seul "mal" est une emprise psychologique orchestrée par des responsables religieux. Ce phénomène, où la culpabilité et la peur sont utilisées pour contrôler, interroge sur la frontière entre foi sincère et manipulation mentale.

⚖️ Quels risques juridiques ?

  • Abus de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal)

  • Mise en danger de la personne (article 223-1)

  • Non-assistance à personne en danger (article 223-6)

Certaines croyances deviennent destructrices lorsqu’elles enferment dans la peur. Comment reconnaître ces dérives ? Quels sont les recours possibles ? Cette formation vous donne les clés pour analyser, comprendre et agir face à ces abus.

À la fin de ce module, vous saurez :

  1. Faire la différence entre foi personnelle et endoctrinement,

  2. Identifier les discours manipulatoires et les pratiques mentales destructrices,

  3. Connaître les recours juridiques adaptés à ces situations.

MODULE 5 – Superstition et manipulation mentale.pdf

6. Santé mentale et emprise spirituelle : comment identifier et prévenir les traumatismes ?

L’abus spirituel peut briser des vies. Dépression, anxiété, culpabilité excessive, certains fidèles sombrent dans la souffrance, piégés par une autorité religieuse toxique. Souvent, ils n’osent pas parler, pensant que leur mal-être est une "épreuve divine".

Quels signaux et recours ?

Abus de faiblesse (article 223-15-2)
Harcèlement moral (article 222-33-2)
Accès aux soins et accompagnement juridique

Reconnaître l’emprise spirituelle est le premier pas vers la libération. Cette formation vous aide à identifier les signes, comprendre les mécanismes et agir pour protéger votre équilibre mental et celui des autres.

À la fin de ce module, vous saurez :

  1. Repérer les signes de traumatisme spirituel,

  2. Réagir face à une autorité religieuse toxique,

  3. Orienter les victimes vers les bons dispositifs d’aide et de justice.

Inscrivez-vous et reprenez le contrôle de votre vie.

MODULE 6 – Emprise spirituelle et santé mentale.pdf

🎙️ Podcast 3

Délivrance spirituelle ou manipulation mentale ?

🎙️ Podcast 3 : Délivrance spirituelle ou manipulation mentale ?

 🎙️ Podcast 4

Psychologie et droit : comment protéger les victimes d’emprise ?

🎙️ Podcast 4 : Psychologie et droit : comment protéger les victimes d’emprise ?

📖 SEMAINE 3 : L’APPROCHE JUDICIAIRE ET LES RECOURS POSSIBLES

7. Action judiciaire : porter plainte ou éviter le procès pénal ?

Face à un abus spirituel, la justice semble parfois être l’unique recours. Pourtant, judiciariser un conflit peut aussi raviver les blessures et prolonger la souffrance. Faut-il porter plainte, chercher une médiation, ou privilégier une réparation symbolique ?

Quelles options selon la situation ?

  • Plainte

  • Médiation et conciliation

  • Réparation et reconstruction

L’important est de choisir la voie la plus adaptée. Cette formation vous aide à comprendre vos droits, évaluer les conséquences d’un procès et explorer les alternatives.

À la fin de ce module, vous saurez :

Choisir la procédure la plus adaptée à votre situation,
Identifier les avantages et limites du recours judiciaire,
Préparer une sortie de crise en toute conscience.

Inscrivez-vous pour faire le choix qui vous convient.

MODULE 7 – Choix du recours _ procès ou alternatives .pdf

8. Les étapes d’une procédure judiciaire : auditions, langage à adopter, délais et coûts

Marie-Aurore voulait témoigner, mais face à la justice, elle s’est sentie perdue. Déposer plainte, être entendu, se défendre sans se décrédibiliser… Le parcours judiciaire peut intimider.

⚖️ Comment se déroule une procédure ?

  1. Dépôt de plainte

  2. Audition

  3. Enquête et instruction

  4. Procès ou alternatives

  5. Coûts et délais

Bien se préparer permet d’être entendu avec sérieux. Cette formation vous donne les clés pour avancer avec confiance.

À la fin de ce module, vous saurez :

  • Comprendre le déroulé complet d’une procédure judiciaire,

  • Vous exprimer clairement face aux autorités sans vous décrédibiliser,

  • Anticiper les délais et les coûts liés à votre démarche.

Inscrivez-vous et abordez la justice sereinement.

MODULE 8 – Comprendre la procédure judiciaire.pdf

9. Dialogue avec les autorités judiciaires et médiation : solutions alternatives aux conflits

Un procès peut être long et éprouvant. D’autres voies existent : médiation, conciliation, dialogue encadré. Elles permettent d’apaiser les tensions tout en garantissant reconnaissance et réparation.

⚖️ Affaires judiciaires : quand la médiation a permis une issue favorable
Exemples réels : communauté Saint-Élie, pasteur André, Claire victime de diffamation

Quelles solutions ?
Médiation judiciaire ? Conciliation ? Dialogue encadré ?

Ce module vous donne les outils pour structurer un dialogue efficace et éviter l’escalade judiciaire.

À la fin de ce module, vous saurez :

  1. Identifier les solutions alternatives à un procès,

  2. Mobiliser les bons dispositifs pour apaiser les conflits,

  3. Obtenir reconnaissance et réparation sans passer par le tribunal.

MODULE 9 – Médiation et résolution des conflits religieux.pdf

🎙️ Podcast 5

Avant le prétoire : Comment constituer un dossier solide ?

🎙️ Podcast 5 : Avant le prétoire : Comment constituer un dossier solide ?

🎙️ Podcast 6

Dans le prétoire : Droits et devoirs des victimes et accusés

🎙️ Podcast 6 : Dans le prétoire : Droits et devoirs des victimes et accusés

🎙️ Podcast 7

Après le prétoire : Quel impact psychologique et juridique ?

🎙️ Podcast 7 : Après le prétoire : Quel impact psychologique et juridique ?

📖 SEMAINE 4 : LEADERSHIP, POUVOIR ET MONOPOLE DANS L’ÉGLISE

10. Le monopole du pouvoir et les dérives des cabinets officieux

Pourquoi certains leaders religieux rejettent-ils toute réforme ecclésiale ? Pourquoi mettent-ils en place des “cabinets officieux” de prière, en dehors de toute régulation ecclésiale ou juridique, où leur parole devient loi et leur autorité incontestable ?

Dans ce module, nous analysons la dérive autoritaire au sein des milieux spirituels à travers le phénomène du culte de la personnalité, avec un éclairage historique et juridique.

Dans une affaire judiciaire, un responsable de communauté refuse tout contrôle de la hiérarchie religieuse, désigne ses propres “intercesseurs”, collecte des “offrandes” obligatoires, interdit les départs du groupe et exerce un ascendant psychologique total sur ses fidèles.
Ce type de comportement peut être juridiquement qualifié, selon le contexte, de :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),

  • Ou, dans certains cas, de harcèlement moral collectif ou abus de confiance.

⚖️ Ces cabinets officieux échappent souvent à tout cadre légal, mais peuvent être visés par des actions civiles (responsabilité contractuelle ou délictuelle) ou pénales si des faits précis sont établis.
L’enjeu : distinguer ce qui relève de la liberté religieuse (protégée par la loi de 1905) de ce qui constitue une instrumentalisation de cette liberté à des fins de contrôle, de profit ou d’abus.

Ce module vous propose :

  • Des grilles d’analyse pour détecter les signes de dérive autoritaire,

  • Des exemples issus du terrain pour comprendre l’impact communautaire,

  • Des conseils pour protéger juridiquement les membres, notamment les plus vulnérables (personnes isolées, mineurs, nouveaux convertis).

À la fin de ce module, vous saurez :

  1. Identifier les pratiques illégitimes dans les groupes de prière non encadrés,

  2. Comprendre le lien entre pouvoir spirituel, manipulation et responsabilité juridique,

  3. Préparer des actions de prévention, d’alerte ou de signalement fondées sur le droit.

MODULE 10 – Abus de pouvoir et cabinets officieux.pdf

11. Entre autorité spirituelle et abus de pouvoir : où placer la limite ?

Peut-on encore parler de foi librement exercée lorsqu’un pasteur, un prêtre, une prophétesse, un berger, un imam ou un rabbin décide seul qui peut prêcher, qui doit être exorcisé, ou qui est "sous influence démoniaque" ? Jusqu’où va l’autorité spirituelle, et à partir de quand bascule-t-elle dans l’abus de pouvoir ?

Ce module aborde les mécanismes de domination invisibles, les pressions psycho-spirituelles, mais aussi - et surtout - les responsabilités des deux côtés : celle des leaders religieux (toutes confessions confondues), mais aussi celle des fidèles, de l’environnement, et du système.

⚖️ Protéger sans accuser : plaidoyer pour les leaders religieux

Car trop souvent, les pasteurs, prêtres, rabbins, prophètes, bergers ou imams sont jugés sans nuance. Or, ce sont aussi :

  • des pères de famille débordés,

  • des mères isolées appelées au ministère,

  • des entrepreneurs jonglant entre foi et responsabilités,

  • des femmes au foyer animées d’un zèle sincère,

  • des enseignants, journalistes, influenceurs ou jeunes actifs aspirant à faire le bien dans leur communauté.
    Eux aussi ont besoin d’un cadre, de repères et d’une protection juridique réelle.

En pratique, les leaders religieux sont aussi victimes d'abus :

Un pasteur voit sa photo détournée sur des affiches de guérison dans une autre ville, sans son accord → captation illicite de l’image, sanctionnée par l’article 9 du Code civil et l’article 226-1 du Code pénal.

Une prophétesse découvre que des collectes de fonds sont organisées à son nom par un groupe satellite → il s’agit d’une escroquerie par usurpation d’identité, réprimée par l’article 313-1 du Code pénal.

Une bergère est discréditée publiquement par une vidéo sortie de son contexte → cela peut relever de la diffamation ou de l’atteinte à la vie privée.

Un imam est filmé sans autorisation dans un moment de prière → atteinte au droit à l’image et à la vie privée, protégés même dans les lieux de culte.

Un rabbin fait l’objet d’un faux appel aux dons dans sa communauté via un site frauduleux → cela relève de l’usurpation d’identité et de la cyberescroquerie.

⚖️ Ce que dit le droit (et comment les leaders peuvent se défendre)

Les leaders religieux ont des droits.

Ils peuvent ester en justice comme toute personne physique, en leur nom propre ou via une association cultuelle (loi 1905) ou culturelle (loi 1901).

Ils peuvent déposer plainte pour escroquerie, usurpation d’identité, diffamation, captation illicite, harcèlement ou atteinte à la réputation.

Mais ces droits ne sont pas absolus.

Ce que vous apprendrez dans ce module

  1. Distinguer clairement autorité spirituelle légitime et prise de pouvoir abusive,

  2. Identifier les situations où le leader devient victime d’atteintes,

  3. Connaître les recours juridiques pour protéger son image, sa voix, son intégrité,

  4. Apprendre à communiquer avec justesse et neutralité dans les situations de conflit ou d’accusation,

  5. Instaurer un cadre protecteur et éthique autour du leadership religieux.

Cette formation est aussi un espace de réhabilitation.

MODULE 11 – Autorité spirituelle _ cadre ou abus .pdf

🎙️ Podcast 8

Les erreurs à éviter pour ne pas tomber dans l’illégalité

🎙️ Podcast 8 : Les erreurs à éviter pour ne pas tomber dans l’illégalité

🎙️ Podcast 9

Le rôle des avocats et psychologues dans l’accompagnement des victimes

🎙️ Podcast 9 : Le rôle des avocats et psychologues dans l’accompagnement des victimes

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Foire aux questions (FAQ)

Formation sur les dérives sectaires et la santé mentale dans l'église.

1. À qui s’adresse cette formation ?

À toute personne concernée par les dérives sectaires et les abus dans les milieux religieux : juristes, étudiants, avocats, magistrats, responsables religieux (pasteurs, prêtres, prophètes, imams, rabbins, bergers...), psychologues, travailleurs sociaux, membres d’associations, éducateurs, ainsi que toute personne désireuse d’acquérir des outils concrets de compréhension, de prévention et d’action.

2. Comment accède-t-on aux cours et podcasts ?

Dès que vous avez effectué le paiement, vous recevez un accès immédiat à une plateforme dédiée où vous pouvez consulter :

  • 📖 11 cours écrits en PDF,

  • 🎧 9 podcasts audio de 30 minutes maximum.
    Tous les contenus sont disponibles en illimité, même après la formation.

3. Quel est le format et la durée de la formation ?

La formation s’étale sur 4 semaines, avec un rythme flexible :

  • 3 cours écrits par semaine (exemple : lundi, mercredi, vendredi),

  • 2 à 3 podcasts par semaine.
    🕒 Vous êtes libre d’adapter le rythme selon votre emploi du temps. Aucun stress.

4. Puis-je poser des questions à la formatrice ?

Oui. Un accompagnement par e-mail est prévu 7j/7 et 24h/24 pendant toute la durée de la formation. Vous pouvez écrire à formation@lectureplus.fr pour toute question ou besoin d’éclairage.

5. La formation est-elle certifiante ?

Non, cette formation n’est pas certifiante. Elle vise à transmettre des connaissances pratiques et juridiques, ainsi que des études de cas réels, pour vous outiller concrètement dans votre engagement personnel ou professionnel.

6. Quels sont les moyens de paiement disponibles ?

Plusieurs options s’offrent à vous :

Paiement sécurisé par carte bancaire via Stripe directement sur la plateforme, PayPal, Virement bancaire, Transferts internationaux (Western Union ou autres).

Pour les paiements manuels ou internationaux, merci de contacter directement : formation@lectureplus.fr

7. Peut-on payer en plusieurs fois ?

Oui, le paiement en 2 fois est possible pour plus de souplesse :

  • 100 € en paiement unique,

  • 150 € en deux fois.
    Vous choisissez l’option qui vous convient lors de l’inscription.

8. Peut-on suivre cette formation en groupe ou organiser une session spéciale ?

Oui. Nous intervenons aussi auprès de :

  • Églises, ONG, associations, établissements religieux,

  • Universités, instituts, ou tout groupe structuré.

  • Format possible : petits groupes (10 à 90 personnes) ou grands rassemblements (jusqu’à 3000 participants).
    Pour recevoir un devis personnalisé, organiser une session en présentiel ou visio, merci de nous contacter à : formation@lectureplus.fr

9. Garantie éthique & engagement de la formatrice

Nous ne promettons ni miracles ni solutions toutes faites. Cette formation ne remplace pas un suivi médical ou juridique personnalisé. Elle offre des outils concrets, des repères solides et des études de cas réels pour discerner et agir face aux abus dans les milieux religieux. La formatrice s’engage à délivrer un contenu rigoureux, clair et accessible. Tous les échanges sont confidentiels et traités avec respect. Vous n’achetez pas seulement une formation : vous intégrez une démarche de conscience, de vigilance et de transformation.

10.Puis-je revendre, réutiliser ou partager le contenu de cette formation ?

Non.

Tous les contenus de cette formation sont protégés par le droit d’auteur.


Ils ont été conçus, rédigés et structurés exclusivement par Mme Aïcha GBANDI, à partir de plusieurs années de recherches, d’enquêtes de terrain, de témoignages, de rencontres avec des personnes-ressources, et d’une expertise juridique personnelle.

Ce ne sont ni des contenus réadaptés, ni des modules copiés ou sous licence libre.
La revente, la diffusion non autorisée, la copie ou l’utilisation à des fins commerciales (même partielle) est strictement interdite et exposerait à des poursuites sur la base de la législation sur la propriété intellectuelle.

Cette formation est réservée à un usage individuel. Merci de respecter le travail engagé et la rigueur qui l’ont rendue possible.

Biographie de l'auteure

Aïcha GBANDI est juriste, diplômée d’un Master 2 en Histoire du droit et des institutions à l’Université de Bordeaux (2020-2021). Son mémoire de recherche a porté sur « Le droit dans les congrès internationaux des femmes », illustrant sa capacité à croiser rigueur juridique et réflexion historique approfondie.

Elle est également titulaire d’une licence en droit public (Université de Lomé, 2015-2016) et d’un Master 1 en Histoire du droit et des institutions (Université de Bordeaux, 2019-2020).

Son parcours a été complété par une préparation annuelle et estivale aux concours du CRFPA et de l’ENM au sein des Instituts d’Études Judiciaires de Bordeaux et de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ainsi qu’un stage en cabinet d’avocats à Paris. Elle y a contribué à la rédaction de requêtes et mémoires en droit administratif et en droit des étrangers (CESEDA), ainsi qu’à la constitution et au suivi de dossiers en droit du travail. Cette expérience pratique est venue renforcer sa formation académique et consolider son expertise dans des matières clés du droit.

Distinctions et reconnaissance académique

  • Lauréate du Concours régional francophone de plaidoirie en droit international humanitaire du CICR (Tunis, 2013).

  • Représentante du Togo au prestigieux Concours international Jean-Pictet de droit international humanitaire (États-Unis, 2015).

  • Participation à divers forums internationaux sur le droit et le leadership.

Publications et productions académiques

  • Cinquième convention de Genève, recueil de cas pratiques en droit international humanitaire et droits de l’homme, préfacé par le Professeur Michel Deyra.

  • Articles spécialisés publiés dans Village de la Justice et d’autres revues professionnelles.

  • Fiches de cours, fascicules d’actualisation et recueils de cas pratiques destinés aux étudiants en droit.

Licence (L1-L3) :

  • 12/20 en droit administratif des biens

  • 13/20 en régime général des obligations

  • 14/20 en droit du travail

  • 14/20 en droit international humanitaire

  • 14/20 en institutions administratives

  • 13/20 en méthodologie du droit, finances publiques et droit de la fonction publique

  • 12/20 en rédaction administrative

Master (M1-M2) :

  • 12/20 en histoire des professions judiciaires

  • 18/20 en histoire du droit de la famille

  • 15/20 en histoire du droit patrimonial de la famille

  • 14/20 en droit privé comparé

  • 13/20 en analyse des enjeux juridiques actuels

Ces résultats concrets reflètent son expertise et garantissent la qualité des fiches et supports pédagogiques qu’elle propose.

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  • Gratuit

Programme du cours de droit comparé des religions et de la justice sur les dérives sectaires et la santé mentale dans l’Église, par Mme Aïcha Gbandi, juriste de formation.

  • Téléchargement numérique
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Ce livre blanc présente le plan du cours en droit comparé des religions et de la justice, dispensé par Mme Aïcha GBANDI. Téléchargez gratuitement ce PDF et découvrez les thématiques de cette formation, qui traite des dérives sectaires et de l'impact psychologique des abus dans les institutions religieuses. Ce document illustré offre un aperçu des sujets abordés avant de vous inscrire à la formation complète, payante.

Formation complémentaire

  • 120 € ou 2 paiements mensuels de 85 €

Financer vos cultes et projets personnels : stratégies juridiques et sociales pour réussir vos levées de fonds

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